Sam 1 Avr - 15:14
Sujet du contexte d'Ecleasya
"On ne choisit pas son dragon, c'est lui qui nous choisit." - Aléna
Il y a bien longtemps, les Hommes vivaient en communion avec les dragons, des êtres dotés de tous types de pouvoirs, gigantesques et humbles. On raconte depuis nos plus lointaines contrées, que chaque dragon correspondrait à un humain. C'est dans cette atmosphère de paix que la plupart des adultes et anciens d'aujourd'hui ont vécu et se sont épanouis.
Il y a de cela quelques années, la guerre faisait rage. Dragons et humains étaient exterminés sans scrupule, autant par des ennemis que des alliés, qui, finalement ne faisaient plus aucune différence entre les uns ou les autres. Les peuples ne cessaient de s'envoyer des ataques toutes plus meurtrières les unes que les autres, pour des histoires différentes, futiles ou non. Ainsi, les pouvoirs les plus forts qui liaient dragons et humains disparurent en même temps que la confiance entière qu'ils leur vouaient. Personne ne savait réellement à quoi tout cela était du, et tous cherchaient sans cesse un moyen de ramener ce pouvoir à la vie. Et puis, tel un rayon de soleil parmi les nuages, elle était apparue. Aléna, celle que tous attendaient pour cesser cette boucherie sans répit. Cette bouffée d'air frais, et cette voix mélodieuse parvint à ramener la paix. En signant un traité de paix entre les peuples, et en élisant Alaric en tant que pacifiste, tout le monde a su lui offrir une confiance aveugle. La paix était revenue, et avec la joie de vivre de chaque habitant et cette puissance liant dragons et humains.
À la mort d'Alaric, un remplaçant a du être élu. Ulric, nouveau pacifiste, avait su conquérir les cœurs, et de cette confiance qu'il dégageait, il sut tirer bon parti. Alors que la guerre avait enfin cessé depuis quelque temps déjà, il décida de laisser ses idées et sa haine envers les dragons prendre le dessus sur le reste. Et il déclara haut et fort que ces êtres ne méritaient pas de vivre, qu'ils ne devaient plus vivre et que, malgré leur grand pouvoir, il se devait de tous les exterminer uns à uns.
Aléna ne pouvant pas contrer une telle rébellion de la part d'un pacifiste, décida de faire construire une île, sur laquelle elle pourrait laisser dragons et dragonniers vivre en paix et loin de tout danger. Sandness. Cependant, pendant qu'elle mettait ses élèves à l'abris afin de les protéger du danger que représentait le nouveau pacificateur, ce dernier les attaqua en espérant faire disparaître les dragons une bonne fois pour toute. Dans un combat sans merci l'un contre l'autre, Aléna perdit la vie, en parvenant tout de même à mettre son projet de sauvetage à exécution. Ulric perdit la trace des élèves survivants, et ne put pas tuer les derniers dragons.
"Ne les entendez-vous pas? Ils mugissent plus fort que nous, alors qu'ils ne sont rien!" - Ulric
"On ne choisit pas son dragon, c'est lui qui nous choisit." - Aléna
Il y a bien longtemps, les Hommes vivaient en communion avec les dragons, des êtres dotés de tous types de pouvoirs, gigantesques et humbles. On raconte depuis nos plus lointaines contrées, que chaque dragon correspondrait à un humain. C'est dans cette atmosphère de paix que la plupart des adultes et anciens d'aujourd'hui ont vécu et se sont épanouis.
Il y a de cela quelques années, la guerre faisait rage. Dragons et humains étaient exterminés sans scrupule, autant par des ennemis que des alliés, qui, finalement ne faisaient plus aucune différence entre les uns ou les autres. Les peuples ne cessaient de s'envoyer des attaques toutes plus meurtrières les unes que les autres, pour des histoires différentes, futiles ou non. Ainsi, les pouvoirs les plus forts qui liaient dragons et humains disparurent en même temps que la confiance entière qu'ils leur vouaient. Personne ne savait réellement à quoi tout cela était dût, et tous cherchaient sans cesse un moyen de ramener ce pouvoir à la vie. Et puis, tel un rayon de soleil parmi les nuages, elle était apparue. Aléna, celle que tous attendaient pour cesser cette boucherie sans répit. Cette bouffée d'air frais, et cette voix mélodieuse parvint à ramener la paix. En signant un traité de paix entre les peuples, et en élisant Alaric en tant que pacifiste, tout le monde a su lui offrir une confiance aveugle. La paix était revenue, et avec elle la joie de vivre de chaque habitant et cette puissance liant dragons et humains.
À la mort d'Alaric, un remplaçant a du être élu. Ulric, nouveau pacifiste, avait su prendre la place d'Alaric, qui tombait peu à peu dans les oubliettes. Alors que la guerre avait enfin cessé depuis quelque temps déjà, il décida de laisser ses idées et sa haine envers les dragons prendre le dessus sur le reste. Et il déclara haut et fort que ces êtres ne méritaient pas de vivre, qu'ils ne devaient plus exister et que, malgré leur grand pouvoir, il se devait de tous les exterminer uns à uns.
Aléna ne pouvant pas contrer une telle rébellion de la part d'un pacifiste, décida de faire construire une île, sur laquelle elle pourrait laisser dragons et dragonniers vivre en paix et loin de tout danger. Sandness. Cependant, pendant qu'elle mettait ses élèves à l'abris afin de les protéger du danger que représentait le nouveau pacificateur, ce dernier les attaqua en espérant faire disparaître les dragons une bonne fois pour toute. Dans un combat sans merci l'un contre l'autre, Aléna perdit la vie, en parvenant tout de même à mettre son projet de sauvetage à exécution. Ulric perdit la trace des élèves survivants, et ne put pas tuer les derniers dragons.
"Ne les entendez-vous pas? Ils mugissent plus fort que nous, alors qu'ils ne sont rien!" - Ulric
Le ciel s'élevait de toute sa splendeur. Au loin, des rayons rouges sang perçaient les quelques nuages gris qui assombrissaient les journées depuis quelques temps, déjà. L'orage s'était préparé toute la semaine, rendant l'air humide, la chaleur désagréable et l'ambiance lourde. Les montagnes au loin formaient des ombres chinoises sur la terre, perdue au centre d'une vaste étendue d'eau calme, d'un bleu marine sombre.
Le brouillard enveloppait le sable fin et presque blanc de la plage. Dans le silence de mort qui planait, un crissement de chaussure résonna, puis un autre. Le pas était lourd, et la démarche lente, presque un peu trop. Un homme, ou du moins ce qui y ressemblait, avançait. Il était vêtu d'un habit noir, recouvrant chaque parcelle de peau, et dissimulant un visage aux traits noueux sous un capuchon. À la ceinture traînait le fourreau d'une épée âgée. L'aura mystérieux qui entourait ce personnage énigmatique était dérangeant et oppressant.
On y voyait pas à plus de trente mètres, et, pourtant, il semblait savoir exactement où il allait. Plus il avançait, et plus il semblait reprendre de l'assurance. Sa fatigue disparaissait, et ses membres ankylosés semblaient ne plus être. Et puis, finalement, cet empressement prit fin sur une large pleine, en face d'une montagne haute. Près du ciel, on distinguait un bâtiment aux murs beiges et blancs et aux hautes tours. Les dragons ne volaient pas, certainement à cause des éclairs qui perçaient le ciel ça et là.
Un vent violent vint fouetter le visage de l'homme, et fit voler sa capuche et ses mèches de cheveux salis. Son visage bruni par la terre laissait comprendre quel voyage il avait entreprit pour arriver ici. Et son regard déterminé ne se détachait plus de ces hautes tour. Il en était sûr, c'était là. Un sourire prit place sur ses lèvres sèches et abîmées; sourire aussi effrayant que magnifique. Il était grand, laissant dévoiler une rangée de dents étonnamment blanches, fier, sadique, et il ne relevait que d'une chose : l'accomplissement d'une recherche sans fin et le début d'une tâche nouvelle.
Dans le ciel, au lointain, un éclair perça le ciel de son jaune vif. Et l’œil devint rouge comme le ciel devant le soleil levant.
"Enfin."
Le ciel s'élevait de toute sa splendeur. Au loin, des rayons rouges sang perçaient les quelques nuages gris qui assombrissaient les journées depuis quelques temps, déjà. L'orage s'était préparé toute la semaine, rendant l'air humide, la chaleur désagréable et l'ambiance lourde. Les montagnes au loin formaient des ombres chinoises sur la terre, perdue au centre d'une vaste étendue d'eau calme, d'un bleu marine sombre.
Le brouillard enveloppait le sable fin et presque blanc de la plage. Dans le silence de mort qui planait, un crissement de chaussure résonna, puis un autre. Le pas était lourd, et la démarche lente, presque un peu trop. Un homme, ou du moins ce qui y ressemblait, avançait. Il était vêtu d'un habit noir, recouvrant chaque parcelle de peau, et dissimulant un visage aux traits noueux sous un capuchon. À la ceinture traînait le fourreau d'une épée âgée. L'aura mystérieux qui entourait ce personnage énigmatique était dérangeant et oppressant.
On y voyait pas à plus de trente mètres, et, pourtant, il semblait savoir exactement où il allait. Plus il avançait, et plus il semblait reprendre de l'assurance. Sa fatigue disparaissait, et ses membres ankylosés semblaient ne plus être. Et puis, finalement, cet empressement prit fin sur une large pleine, en face d'une montagne haute. Près du ciel, on distinguait un bâtiment aux murs beiges et blancs et aux hautes tours. Les dragons ne volaient pas, certainement à cause des éclairs qui perçaient le ciel ça et là.
Un vent violent vint fouetter le visage de l'homme, et fit voler sa capuche et ses mèches de cheveux salis. Son visage bruni par la terre laissait comprendre quel voyage il avait entreprit pour arriver ici. Et son regard déterminé ne se détachait plus de ces hautes tour. Il en était sûr, c'était là. Un sourire prit place sur ses lèvres sèches et abîmées; sourire aussi effrayant que magnifique. Il était grand, laissant dévoiler une rangée de dents étonnamment blanches, fier, sadique, et il ne relevait que d'une chose : l'accomplissement d'une recherche sans fin et le début d'une tâche nouvelle.
Le sourire carnassier du personnage donnait froid dans le dos, tandis qu'il commençait son ascension vers le haut de la montagne. Ses mains aux phalanges épaisses se saisissaient des roches, et l'aidaient à se propulser vers le haut. Ses bottes s'accrochaient aux bons rochers aux bons moments, et il parvenait à se hisser sur les pierres sans difficultés. On devinait aisément les muscles et la force de l'homme, rien qu'à la carrure de ses épaules. Son regard transpirait la motivation, et il semblait simplement inatteignable.
Au bout d'un certain temps, le geignement aiguë d'une bête lui parvint, alors qu'il ne regardait pas là où il marchait. Aussitôt, il tourna la tête sur le côté, et croisa le regard ambré d'un dragon. Ce dernier, aux écailles jaunes et luisantes, reculait en poussant un geignement quasiment inaudible. Sa langue fourchue sortait d'entre ses dents pointues, et l'air sadique de l'homme revint à la charge. Il dégaina son épée. Dans le ciel, au lointain, un éclair perça le ciel de son jaune vif. Et l’œil devint rouge comme le ciel devant le soleil levant. La haine et la rage se lisaient sur ses traits illuminés. Et un sourire de démon avait accroché ses lèvres pour ne plus le quitter. Il avait soif. Soif de sang et de pouvoir.
"Enfin, ma vengeance peut commencer."
Et l'écho du cri de l'âme quittant le corps résonna sur la mer.
La Bibliothèque
Note de la fondatrice: Avant de vous plonger dans ce petit complément d'informations à propos de la fameuse bibliothèque je dois vous prévenir. Cette fiche concernant la bibliothèque, ses origines ainsi que sa relation particulière avec son où ses bibliothécaires sont relativement basés sur certaines informations inclues dans les films et la série. Cependant ce n'est pas canon (c'est-à-dire issu intégralement de la série) L'idée de base du forum est survenu bien avant la saison 3 et il faut croire que les grands esprits ses rencontres. Il se peut donc que quand vous allez regarder la saison 3 vous découvriez des similitudes par rapport au contexte et à cette fiche explicative mais que vous vous rendrez compte que cette explication, surtout concernant son origine, n'est absolument pas la même que la série. Elles viennent de mon imagination débordante et par plus ou moins extrapolation de ce que nous savions des téléfilms et de la série bien avant cette dernière saison. Merci de votre compréhension.
Les Origines de la Bibliothèque
Il y a de cela bien longtemps, à une époque bien reculée la magie était partout. Elle était dans toutes choses et c'est pour cela que les récits anciens, mythes et légendes de ce temps en parlent. Il y avait souvent des luttes entre le bien et le mal, des personnes mal attentionnées se servaient parfois de leur magie pour asseoir leur pourvoir et même dominer le monde. Un peu comme à la manière du mythe des templiers qui disparut avec leur trésor, le mythe de la bibliothèque à lui aussi exister. Tout le monde, qu'il soit lié ou non à la bibliothèque connaît cette légende historique au même titre que de nombreux autres. Mais seuls quelques initiés savent qu'elle perdure encore aujourd'hui pour protéger la magie et le monde de son utilisation dangereuse et perverse.
I. Les débuts de la protection magique: La grande Babylone et la tour de Babel
Babylone, capitale de la grande Mésopotamie dans les temps ancien, capital magique par excellence qui abrita de nombre mage et sorcier en tout genre et tout cela en paix et prospérité. Tout le monde , ou presque doit avoir au moins entendu parler de cette ville formidable qui abritais l'une des sept merveille du monde antiques: Les Jardins Suspendus. Son age d'or fut marqué par le règne de Nabuchodonosor II, roi sage et érudit. D'après certain écrit Biblique , la tour de Babel aurais débuté sa construction part les enfants de Noé (oui celui de l'arche) et auraient été brouillés par dieu lui-même et aurais eu pour origine toute les langues existantes alors qu'il n'existait qu'une seule et même langue à l'origine. Vous verrez souvent que les mythe et les légendes et même les récits biblique on une part de vérité.
La langue d'origine qui était parlée bien avant ce "brouillage" était la langue des oiseaux. Une langue tellement ancienne qu'une seule personne à ce jour est capable de le lire et le comprendre. (Oui oui Flynn Carson le bibliothécaire en effet!). La légende raconte donc qu'une fois que les descendants de Noé sont trouvés une terre, ils commencèrent à fonder une ville ainsi qu'une tour qui pourrait monter vers le ciel et ainsi se faire un nom. Mais en vérité , ce sont là les origines de la grande Babylone et cette fameuse tour était à l'origine destinée à ne pas oublier les erreurs du passé, à garder en sûreté toute les connaissances d'antédiluvien ainsi que la fameuse arche de Noé lui-même. Une sorte de première bibliothèque en somme. Sauf que ce n'est pas là l'origine de la bibliothèque telle que nous la connaissons aujourd'hui. Car oui, des personnes jalouses et malintentionnées ont eu vite fait de semer le trouble dans la cohésion des habitants du village, rendant leur communication quasi impossible car leur langage avait changé.
Magie ? Surement! La construction fut inachevée mais les connaissances restèrent tout de même et l'éclosion de grande et belle Babylone se fit sur les ruines de cette discorde. Ce fut là, la seule et unique tentative d'archivage de connaissances aux grandes échelles enregistrées. Malgré tout, la tour inachevée abrita tout de même un panel d'objet et de connaissances mais surveillé comme un trésor royal. Avec le temps ces richesses se dispersèrent comme autant de langue recouvrit le monde et le monde connu des bibliothèques à travers le monde. Bien que la magie commençait à se démocratiser il fallut attendre un long moment pour que l'on est enfin l'idée de bâtir un autre lieu de connaissances aussi vaste et majestueux et se fut donc en Égypte que tout commença.
I. La Grande Bibliothèque d’Alexandrie
Replaçons donc le contexte de l'époque. Ptolémée premier viens de devenir pharaon d'Egypte à la mort d’Alexandre et décide de faire de faire d’Alexandrie la capitale culturel du monde. Jusque là rien d'anormal , sauf que sont but n'est pas que emmagasinée le savoir de monsieur tout le monde, le savoir magique est inclus dans les paramètre et bien entendu il n'y a pas que la bibliothèque mais aussi le premier musé de l'histoire "le palais des muses", une université et une académie. Ce qui veux dire en somme que n'importe quel érudit même ceux qui ne connaissent rien à la magie, pouvais consulté et apprendre ce qu'est la magie et par extension, s'en servir. A l'époque, déjà il y avais une polémique entre ceux qui pensait que le savoir ce devait d'être partager à n'importe qui peut importe ces choix de vie et ceux qui pensait que le savoir, surtout magique, ne devait être réservé que par certains initiés. Peut , importaient à l'époque. Le Pharaon avait décidé et l'on exécutait sa volonté.
C'est lors du règne de son fils Ptolémée II, que la bibliothèque entra vraiment dans ces fonctions. Dans les premiers temps de la bibliothèque, plusieurs "bibliothécaires" firent désigner pour garder ces immenses connaissances et beaucoup de philosophe, de sourciers et de mages sortirent de l'académie et de l'université. Il fut notamment mandaté par le pharaon de récupérer toutes les connaissances et livres du monde. On retrouva, nombreux artefacts et livre antédiluvien qui avait été garder à l'origine , dans la tour de Babel. Avec le temps , tout fonctionnait à merveille malgré tout. Seulement il restait vraiment deux camps. L'un pour protéger le savoir et l'utilisé à bon escient et l'autre, voulant partager et même utilise la magie à ces propre fin, voire même régné sans partage sur le monde grâce à elle.
II. La fin du règne de Cléopatre VII